A 22 ans, je venais de décrocher un BTS commercial, et j'espérais bien trouver du travail rapidement. Mes proches me disaient souvent qu'avec mon physique avantageux, je n'aurai pas de problèmes pour trouver un job. Depuis que j'avais passé mon BAC, je vivais à Lille, seule, mes parents habitant trop loin m'avaient trouvé un studio en ville. Je complétais mes revenus en posant pour des peintres et photographes, souvent le soir ou le week-end. C'est très lucratif, mais je voulais trouver maintenant un emploi moins précaire. Grande, mince, cheveux très noirs et très longs, yeux gris clair, petite poitrine ferme, il paraît que je présente bien. J'aurais pu devenir mannequin, mais cela ne m'intéressait pas, je trouvais ce métier trop futile. Je posais uniquement pour gagner de l'argent, même si parfois je trouvais un certain plaisir narcissique à être exposée, exhibée, souvent admirée, parfois désirée. Souvent, on me proposait du travail, mais c'était rarement correct.

J'aime être bien habillée assez sexy, mais parfois un peu plus classique, style tailleur. Je porte parfois des jeans, en fait, tout me va. On me prend souvent pour une gamine, et je dois parfois justifier mon identité pour affirmer que je suis majeure.

Une petite annonce avait retenue mon attention, et j'avais reçu une réponse à l'envoi de mon CV, me proposant une date à confirmer par téléphone. J'ai donc appelé, et obtenu un rendez-vous pour un entretien d'embauche.

Je cherchais plutôt une petite entreprise, mais là, je fus surprise de découvrir qu'à l'adresse indiquée se trouvait une maison particulière. Après tout, pourquoi pas. Je sonnai, et un homme d'une quarantaine d'année, grand, les cheveux blonds et bouclés, me fit entrer.

- Vous êtes bien comme sur la photo, Delphine, mais c'est mieux grandeur nature, me dit-il en préambule.

- Oui, la photo jointe à mon CV est très récente.

- Enlevez votre manteau, il fait chaud ici.

Il faisait déjà froid en ce mois d'octobre, et j'avais choisi une tenue un peu sexy, mais je ne voulais pas non plus grelotter de froid. Je portais donc des collants clairs sous une jupe en daim beige, plutôt courte. Il est vrai que toutes mes jupes sont courtes, car j'ai des longues jambes, et quand j'achète une jupe un peu courte, ça devient sur moi une minijupe. Celle-ci m'arrivait à mi-cuisses environ, et j'avais préféré mettre des collants, car la jupe était trop courte pour mettre des bas. J'avais choisi un gilet blanc en laine, et j'avais aux pieds des escarpins à talons pas trop hauts, pour ne pas paraître trop grande. Après m'avoir débarrassée de mon manteau, l'homme me fit asseoir face à son bureau, et m'expliqua ce qu'il attendait de moi.

Il était négociant en articles vestimentaires féminins, et avait besoin d'une assistante, mais aussi d'un mannequin pour tester les articles avant de les commander en grosses quantités. Si je faisais l'affaire, je serais chargée du secrétariat, prises de rendez-vous, essayages. Je devrais poser pour des photos de promotion des articles, et l'accompagner lors de ses déplacements à l'étranger. Il me proposa un excellent salaire, et me demanda de faire une séance d'essais, pour voir si j'avais la démarche, l'allure, le feeling pour défiler.

- Déshabillez-vous entièrement, ne gardez que vos chaussures et enfilez cette tenue, me dit-il en me tendant une robe noire.

- Mais. Monsieur, je.

- Je sais, vous n'avez pas l'habitude. Il y a une petite pièce pour vous changer, derrière cette porte.

J'ai saisi la robe, et je suis sortie du bureau, rouge de confusion. Après avoir enlevé mes vêtements, j'ai ôté mon soutien-gorge, mais j'ai préféré garder mes collants. La robe était très classe, superbe, en satin noir, courte et fendue sur un coté, un peu décolletée. Après avoir respiré plusieurs fois à fond, je suis revenue dans le bureau.

- Superbe, vous êtres superbe, Delphine, déclara-t-il. Marchez devant moi, dit-t-il en se levant.

J'avais l'habitude de poser, même souvent nue, mais cette fois, bien que vêtue d'une robe, j'avais l'impression d'être totalement nue.

- Vos collants ne vont pas du tout avec une robe comme celle-ci, dit-t-il en me tendant une boite contenant une paire de bas. Allez enfiler ces bas, on verra la différence.

Je me suis exécutée, et je suis revenue les jambes gainées de bas résille très fins, noirs, dont la jarretière en dentelle m'arrivait à mi-cuisses.

- Vous avez un miroir, pour vous admirer. Voyez-vous la différence ?

Quelques pas me suffirent pour arriver devant un grand miroir fixé au mur. Effectivement, j'avais l'air très sexy, le bas de la robe arrivait juste au niveau des jarretières, et la fente dans le tissu découvrait ma cuisse gauche jusqu'en haut. Il me fit défiler plusieurs fois devant lui, puis me demanda d'approcher.

- Je crois que vous êtes embauchée. Encore un petit détail. Vous devrez aussi défiler en sous-vêtements, ou nue sous une robe en voile transparent, pour certains clients. Je veux donc vous voir nue pour juger si votre corps me convient totalement.

En disant cela, il avait posé ses mains sur ma poitrine et caressait mes seins à travers la robe. N'osant pas bouger ni le repousser, il prit de l'assurance, et fit glisser la robe qui tomba à mes pieds. Je suis de nature docile, presque soumise, et il l'avait vite compris. J'étais presque nue, je n'avais que mes bas, ma culotte et mes chaussures.

- J'avais dit de vous déshabiller entièrement ! dit-il d'un ton sévère.

- Excusez-moi, Monsieur, j'ai dû oublier.

- Vous pouvez garder les bas et les chaussures. Enlevez le reste !

- Oui, Monsieur, répondis-je en baissant ma culotte.

Il me fit marcher devant lui, aller et venir d'un bout à l'autre du bureau. J'étais rouge de honte, car j'étais intégralement épilée et je me sentais encore plus nue, n'osant pas croiser son regard qui, je le devinais, était fixé entre mes cuisses.

- Vous êtes ravissante, et vous me convenez tout à fait. J'ai reçu plusieurs candidates, et j'hésitais encore il y a dix minutes. Mais si vous êtes d'accord avec mes exigences, je serai généreux avec les vôtres, à condition que vous soyez d'une totale docilité, et d'une grande disponibilité. Quand pouvez-vous commencer ?

- Heu. je suis libre, Monsieur.

- Voila le mot que j'attendais.

Il posa une main sur mon sein et fit rouler la pointe entre ses doigts. Ce geste me provoqua des fourmillements entre les cuisses, et il s'en rendit compte. Il passa l'autre main sur mon ventre, et descendit explorer l'intérieur de mes cuisses, puis remonta caresser ma vulve. Il me laissa ensuite me rhabiller.

Après avoir correctement renégocié mon salaire à la hausse, je lus la lettre d'embauche qu'il venait de rédiger. Je commençais dés demain. Certaines obligations n'étaient pas écrites dans mon contrat, mais nous en avions convenu. Je devais toujours porter des tenues sexy, à son goût, c'est d'ailleurs lui qui me les fournirait. Je devais être libre de l'accompagner en voyage d'affaires, parfois plusieurs jours, et poser pour ses clients quand ils le désireraient. Pas de soutien-gorge sauf cas spéciaux (j'en porte rarement), et rasage intégral (j'étais souvent épilée). A part cela, je devais faire le secrétariat, répondre au téléphone, etc. J'avais une période d'essai d'un mois. Le soir, rentrée chez moi, j'avais quelques scrupules que j'ai vite balayés. Après tout, je posais régulièrement nue devant des hommes, ce que me demandait mon nouveau patron n'était pas pire.

Le lendemain, je suivis ses consignes, j'avais choisi une tenue à son goût, du moins je l'espérais. Il ne m'avait pas encore imposé une tenue particulière, j'avais donc choisi parmi mes vêtements un ensemble plutôt sexy. C'était un pull moulant blanc, une jupette plissée écossaise rouge et noire, des bas résille noirs et des cuissardes hautes et moulantes. Je portais un manteau pour dissimuler cette tenue, et la réserver au seul regard de mon nouveau patron.

Arrivée au bureau, il me fit entrer et enlever mon manteau. Je fus félicitée par un sifflement évocateur, puis il me montra mon bureau, ou plutôt, la table où j'allais travailler. C'était dans la même pièce que lui, face à lui, une table avec un épais plateau en verre, une chaise de bureau et une armoire. Il me demanda de m'installer, de m'asseoir pour voir si tout allait bien. Il était debout près de moi, et je m'aperçus qu'il pouvait voir mes jambes sous le bureau, que ce soit depuis son fauteuil, ou auprès de moi, à travers le plateau en verre de mon bureau.

La première matinée passa à m'initier aux documents, au matériel, et à choisir des tenues pour moi, sur catalogues.

Il s'était installé à son bureau et m'avait fait venir près de lui, à sa droite, et il feuilletait les catalogues. Sa main droite s'était infiltrée lentement entre mes genoux, et montait progressivement entre mes cuisses. Docilement, je laissais faire. Je devais me pencher pour bien voir les catalogues, et sa main était arrivée à la jarretière de mes bas. Un moment, une tenue particulièrement jolie me fit m'approcher, et avancer la jambe gauche. Il en profita pour infiltrer sa main un peu plus haut. Intéressée moi aussi par les catalogues, j'ai posé mes deux mains au bord du bureau, me penchant un peu plus, le laissant s'aventurer à son gré entre mes cuisses. Nous étions tombés d'accord sur plusieurs tenues, toutes très sexy et de bonne qualité. Je sentais maintenant sa main passer sous le tissu de ma culotte, caresser mes fesses, puis passer entre mes fesses, entre mes cuisses. Son doigt caressait doucement mes lèvres, allait de mon pubis à mon anus, s'attardait parfois pour entrer dans ma fente et caresser mon clitoris.

J'étais très excitée, il le savait. Il repoussa les catalogues, enleva ma culotte et mon pull, me fit asseoir sur son bureau et me caressa les seins. Puis il recula un peu son siège, pour mieux regarder mes jambes. Il posa ses mains sur mes cuisses, releva un peu plus ma minijupe, et me caressa longuement à travers mes bas, puis plus haut, puis tout en haut, entre mes cuisses. Ensuite il se rapprocha, m'écarta les jambes et plongea sa tête sous ma petite jupe. Je sentis sa langue fouiller mon minou, pendant qu'il faisait passer mes jambes sur ses épaules. Il me caressait maintenant les cuisses, pendant qu'il suçait mon petit trou et mon minou. Je fis durer le plaisir au maximum, le laissant visiter mon corps avec sa bouche, avec ses doigts qui me pénétraient délicieusement. Il me fit jouir pleinement, et me lécha longuement le pubis et l'anus.

Enfin, il me laissa me relever, mais se leva lui aussi pour caresser et sucer mes seins. C'est à ce moment que je vis une grosse bosse sous son pantalon. J'eu confirmation en saisissant son sexe dur à travers le pantalon. J'avais envie de lui donner du plaisir à mon tour, et je me suis agenouillée devant lui, j'ai ouvert son pantalon, et sorti sa verge en érection. Après avoir tripoté son gland et ses testicules un bon moment, je lui ai fait une fellation. Il a joui dans ma bouche, puis sur mon visage, puis sur mes seins. Il est devenu mon amant dés le premier jour.

Chaque matin, quand j'arrivais, il était assis à son bureau, je venais près de lui pour lui dire bonjour. Il passait la main sous ma jupe et montait entre mes cuisses. J'avais compris qu'il était inutile de mettre un quelconque sous-vêtement, puisque je ne pouvais pas le garder plus d'une minute. Il vérifiait aussi que mes seins étaient nus sous le pull ou le chemisier. Quand je portais une nouvelle tenue, il me faisait ensuite défiler pour m'admirer en se caressant la bite. Sinon, je passais directement sous son bureau, et lui faisais sa gâterie du matin. C'était mon petit déjeuner. En voyage, nous passions la nuit ensemble. En voiture, j'étais toujours en minijupe, je le suçais pendant qu'il conduisait, et le reste du temps, il avait sa main entre mes cuisses, tout en haut.

Et tout ceci dura quelques mois, jusqu'à ce qu'un jour, à la suite de la rencontre avec mon nouvel amant, j'ai donné ma démission.

Delphine.

 

 

 

 

 

 

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